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dimanche, avril 25, 2004

Mon ordinateur me hait, deuxième. Aujourd'hui il refuse de démarrer. Du coup je suis dans un cyber café, qui n'a absolument rien d'un café, et du coup pas de musique.

Dans la série "l'aventure continue", je poursuis l'expérience blog/bloggeur. Une des composantes indispensables du blog semble être les questionnaires pris sur les autres blog. C'est chelou, mais bon, pourquoi pas. Donc andiamo, je prend un questionnaire et je réponds. Au hasard, celui de Kobal2 sur Noir/Blanc, histoire de me venger du binaire des 0 et des 1 de mon ordi.

1.) La question grand-papa : Brel ou Brassens ?

Brassens.

1.b) Selon la réponse à la question précédente : "Le Plat Pays" ou "Amsterdam" ? "L'Auvergnat" ou "Les Bancs Publics" ?

Bancs publics.

2) La question chevelus : Metallica ou Iron Maiden ?

Tu parles d'un choix. Metallica, allez.

2.b) Selon la réponse précédente : "Fear of the Dark" ou "666 The Number of the Beast" ? "Nothing Else Matters" ou "Master of Puppets" ?

Nothing Else Matters (mais si j'avais vraiment le choix, ça serait Enter Sandman)

3) La question copain : Renaud ou Goldman ?

Renaud (j'ai pas saisi le plan "copain")

3.b) Selon la réponse précédente : "Dès que le vent soufflera" ou "Mistral Gagnant" ? "Je marche seul" ou "On Ira" ?

Dès que le vent soufflera (mais Marche à l'Ombre en fait)

4) La question rock'n roll : The Beatles ou Elvis ?

Beatles.

4.b) Selon la réponse précédente : "Yesterday" ou "Help!" ? "Jailhouse Rock" ou "Blue Suede Shoes" ?

Help !

5) La question enfulte : Dragon Ball Z ou Les Chevaliers du Zodiaque ?

La question ne se pose même pas : Saint Seiya !

6) La question culturelle : Rincewind ou Sam Vimes ?

Rincevent (le vil, il l'a mis en anglais)

7) La question vieux con : Star Wars (4, 5, 6, je parle pas des merdes) ou Indiana Jones (1,2,3, je parle pas des jeux vidéos) ?

Arg le choix est rude. Disons Star Wars, pour le mythe.

8) La question g33k : Fallout ou Planescape:Torment ?

Euh Fallout, parce qu'il faut choisir.

9) La question Kawaïïïï ! : Totoro ou Kodamas ? (pour les incultes : les Kodamas sont les petits esprits de la forêt dans Mononoke Hime, vous savez, les noirs et blancs qui font "tikakakaklac !" avec leur tête)

Kodamas, bien sûr (me demande s'il y a un rapport avec Kodomo, qui signifie Enfant en jap)

10) La question qui fâche : Joystick ou Gen4 ?

Joystick. Je ne vois aps en quoi ça fache.

11) La question foncedée : Pink Floyd ou The Rolling Stones ?

Pink Floyd (et même plus précis : Dark Side of the Moon & The Wall)

11.b) Selon la réponse précédente : "Comfortably Numb" ou "Shine on you crazy diamonds" ? "Brown Sugar" ou "Angie" ?

Je triche : "Hey you" et "Money".

12) La question du futur layout : noir/blanc ou blanc/noir ? (c'est une question piège, d't'façon y'aura les deux. Bientôt sur vos écrans. Ne zappez pas.)

Blanc/Noir, c'est quand même plus sympa.


Et maintenant, on refait le match :

1) La question Tachini : NTM ou IAM ?

IAM

1.b) Selon la réponse à la question précédente : "J'appuie sur la gâchette" ou "Pose ton gun" ? "Un cri court dans la nuit" ou "Revoir un printemps" ?

L'Ecole du Micro d'Argent...

2) La question mal à la tête : Grimbergen, Hoegaarden ou Kilkenny ?

Kilkenny parce qu'il faut choisir, mais je vote Kriek/Mort subite, ou encore, H2O.

3) La question tameshigiri : Kenshin ou Saitôh ?

Kenshin.

4) La question smocking : Sean Connery ou Roger Moore ?

Sean Connery, de loin.

5) La question stiff necks : Legolas ou Gimli ?

Gimli (je suis dégoûté d ce que le personnage devient dans la version Peter Jackson)

6) La question culturelle II le retour de la revanche du fils contre-attaque reloaded (rien que pour emmerder ceux qu'aiment pas Pratchett) : Granny Weatherwax ou Nanny Ogg ?

Mémé Ciredutemps (tu m'auras pas comme ça).

7) La question frag : CS ou Quake ?

CS. Mal aux yeux, quake.

8) La question bouncing : Chun Li ou Taki ? (maia, je te dispense de celle-là, je connais déja la réponse. Et je maintient que je t'éclate à SF2 original quand tu veux.)

Taki (j'ai déjà dit que the legen will never die ?), mais sinon Sophitia

8.b) Selon la réponse à la question précédente : "Lightning Kick" ou "Whirlwind Kick" ? "La charge au ventre avec l'épée ou elle crie "TIENA !"" ou "Le saut perilleux pour arriver derrière l'adversaire qui se termine 9 fois sur 10 hors du ring" (oui, je connais pas les noms des coups a Soul Blade, et je vous emmerde) ?

Le saut périlleux, ou alors From the Earth to The Heaven de Sophitia (désolé je ne connais que le nom de ses coups à elle... on a un perso fétiche ou pas).

9) La question geignarde : Saez ou Miossec ?

tu mérites des baffes, Miossec ne geint pas.

9.b) Selon la réponse à la question précédente : "J'veux m'en aller" ou "Fils de France" ? "Le Célibat" ou "La fille à qui je pense" ?

Le Célibat.

10) La question velue : Chewbacca ou Widget (pour les incultes, c'est l'Ewok qui vole la motojet) ?

Chewie/Chico

11) La question phylactère : Aaricia ou Kriss de Valnor ?

Y'en a une qui est conne et l'autre qui stupide... pas facile. Allez, Kriss.

12) La question old dead guys : Zeus ou Jupiter ? (nouveauté vue à la télé ! Nouvelle recette plus moëlleuse ! La question modulable ! existe aussi en "Venus ou Aphrodite", "Hades ou Pluton", "Chronos ou Saturne", "Hermes ou Mercure" ainsi qu'en "Diane ou Artemis" !)

Zeus bien sûr.

Allez zou, fini pour aujourd'hui.




jeudi, avril 22, 2004

(Venus / Running at full speed

Ne pas hurler. Rester zen. Aujourd'hui, une fois de plus, je passe devant un lycée pour rentrer chez moi. Une fois de plus, le parvis est encombré de djeun's-cools-qui-fument. Et une fois de plus je surprend leurs conversations. On se souviendra du mémorable "le piercing c'est rebelle". Aujourd'hui ce n'est pas drôle, c'est terrifiant. Un groupe de 5 de ces créatures... cherchant vainement le sens du mot "prolétaire", vraisemblablement prononcé par un professeur dans la matinée. Rah.

Bon. En général, je dis qu'il est temps pour nous de sortir des années 80, qu'on connait les limites du marxisme et de la pensée moderne, etc. Ca a pour conséquence de me faire taxer de pourri de droite élitiste par ceux qui ne me connaissent pas. Ce dont je me fous. (K's Choice / Cocoon Crash) Mais, c'est quand même bon à savoir, c'est faux. Vouloir sortir d'une époque moderne/post-moderne, vouloir produire un discours social qui ne s'arrête pas à un marxisme traditionnel et qui ne tombe pas dans le stalinisme urssien, rappeller l'importance de la personne, de l'individu, au coeur de la société/communauté, ça ne veut pas dire être un pourri de droite élitiste. Ca veut juste dire qu'on a fait des choses bien et qu'on a fait des erreurs, et que ce serait une erreur de négliger les choses bien, et que ce serait pas mal de ne pas répéter les erreurs.

Qu'on arrête de porter la pensée marxiste comme un flambeau (y compris les néo-marxismes de(s) Ecole(s) de Francfort) dont la lumière fait fuir toutes les ombres et dont le feu dévorera toutes les horreurs de nos société capitalistes, ça serait, à mon sens, une bonne chose. Qu'on en arrive à oublier le principe de la lutte des classes, et l'existence d'un prolétariat, ça serait une ENORME erreur. (Noir Désir / Tostaky, le continent... Ben tiens) Et le fait qu'il s'agisse de lycéens rend la chose encore plus grave.

Parce que c'est en théorie à cette période qu'on commence à prendre conscience qu'on a la haine depuis plusieurs années, qu'on a des outils pour analyser la situation dans laquelle on se trouve ; parce que ne pas avoir la rage révolutionnaire à cet âge, c'est soit être un boeuf, soit être un sage. Mais le sage n'a beau ne pas avoir la rage (tiens il y a un truc à faire avec sage et rage, là), au moins il sait ce dont il s'agit. Alors que le boeuf se contente de ruminer. Conclusion : la jeunesse se perd, tout fout le camp, ahlala ma bonne dame, on est peu de choses, ça fait réfléchir. C'était bien la peine d'en arriver à cette conclusion.

Non. Conclusion : on est en train d'oublier nos erreurs parce qu'on est également en train d'oublier les bons principes dont les erreurs sont issues. Et cela peut signifier deux choses pour le futur proche. Soit ces mêmes lycéens ne sauront jamais ce que signifie prolétaire, et on recule d'un bon siècle en arrière. Soit ils le sauront d'ici une petite dizaine d'année, auront une crise de conscience et vivront cette découverte comme une révélation mystique et impossible à remettre en cause. Et là on recule de cinquante ans au niveau du fond, mais de trois ou quatre cents ans au niveau de la forme... (Red Cardell / La Fuite)

Rageant, quand même. Et encore plus rageant de constater que je continue à me positionner dans une pensée avec un "en avant" et un "en arrière". Rah. Cons de d'jeuns.

Pendant que j'y suis, si quelque pouvait me donner son avis sur Octet, un duo qui vient de sortir une galette, j'apprécierais.



mardi, avril 13, 2004

(Butterfly Ball / Love is All)

Le jeu. Cette notion m'obsède. Elle prend parfois même le pas sur le Vide qui Ronge dans mes reflexions qui tournent en tâche de fond. Je suis un joueur. Et je ne crois pas avoir jamais eu de problème pour l'assumer. Par joueur, je n'entends pas un parieur, un flambeur. Je parle du jeu "confrontation face à un problème", que ce problème soit posé par les autres joueurs ou par des regles ou un ordinateur. Si moi je n'ai jamais eu de problème pour l'assumer, j'ai souvent craint que ma chère et tendre ne perçoive cela comme un manque de maturité. (Jeff Buckley / Corpus Christi Carol)Allez savoir pourquoi, les chères et tendres cherchent toujours la trace d'un manque de maturité en face. Elles doivent avoir vraiment très peur d'être une seconde mère. Heureusement pour moi et pour nous ça n'a jamais été le cas. En même temps, c'est normal, si ça avait été le cas, il y a des chances pour que la chère en question n'accepte jamais d'être la tendre également.


(Ry Cooder / Dark was the night) Premier point, c'est donc la confrontation qui m'attire dans le jeu ? Le défi, savoir comment on va s'en tirer, et le désir de s'en tirer le mieux possible. Aucun intérêt à un jeu sans défi, un jeu où la victoire ou la défaite ne laisse aucun doute.

Possible. Mais en tant que rôliste, je participe aussi à des jeux dans lesquels il n'y a pas de véritable adversaire concret, physique. Même le MJ n'est pas un adversaire (en théorie...). Donc ce n'est pas la confrontation aux personnes, mais bien la confrontation à une situation qui m'attire. Ce n'est pas tant la personne qui lance le défi, ni l'objet du défi que le défi lui même. Je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression que ça sonne faux, ça. L'impression que ma reflexion est faussée, brouillonne. Pas grave, je continue.

On parle souvent des echecs (Noir Désir / Les écorchés) comme le jeu des rois et le roi des jeux. Mais moi, les echecs, ça m'emmerde un peu quand même. En gros, c'est celui qui dispose le plus du "truc nécessaire" qui va gagner, que le truc en question soit l'intelligence, la mémoire, la capacité de concentration ou quoi que ce soit. Un peu comme un bras de fer, c'est le plus fort qui gagne. Aucun intérêt, parce que ça revient au début : les dés sont joués avant la partie, la partie ne sert qu'à découvrir ce qu'il en était déjà avant la partie. Les jeux vraiment intéressants doivent donc nécessairement inclure le hasard ; car grâce à lui, le plus faible et le plus mauvais peut quand même gagner (Bomfunk MC / Freestyler).

Et là c'est nettement plus intéressant. Car en plus de devoir gérer son adversaire, qu'on peut connaitre par coeur après des années de jeu en commun, on doit gérer le hasard. On doit pouvoir gagner MEME avec une part d'imprévisible. Et ça c'est bon. Voilà pourquoi un jeu plateau avec des dés ou un jeu de cartes sera toujours plus amusant qu'un jeu d'échec ou une partie de go. Finalement le jeu purement intellectuel n'est qu'un exercice, comme l'avaient compris les japonais yamato qui préconisaient la pratique du go en sus de la littérature, de l'artisanat ou des armes. Un exercice qui a son intérêt, mais qui n'apporte pas de véritable plaisir ludique.

On trouve la confrontation dans les echecs, alors pourquoi le rejeter ? Que le jeu dispose de hasard ou non, ça reste un jeu de confrontation et par là de domination. Et en réalité c'est là qu'on reconnaît le joueur agréable du boulet. Le boulet joue cherche la confrontation dans l'optique de la domination. Le joueur agréable se contente de goûter son plaisir, de savourer la confrontation ; la domination finale de l'un sur l'autre n'est qu'une triste nécessité qu'on pourrait essayer d'éviter. C'est peut être pour cela que Middle Earth reste, même disparu, un des meilleurs jeux de cartes : le but n'est pas de battre l'adversaire, mais de faire mieux que lui avec les mêmes outils et face aux mêmes potentielles difficultés. Une sorte de concours.

Ainsi les parties de Risk les plus intéressantes ne sont pas celles qui durent 30 minutes suite aux blitz réussi d'un joueur, mais celle qui, 4 heures plus tard, a subi nombre de retournement de situation, d'insultes bon enfant suite à un pacte rompu ou de cris de rage à l'encontre d'un nième triple 1 de l'attaquant...

(Green Day / When I come around ) L'intérêt n'est pas le BUT du jeu, mais le but du JEU. Une intense activité intellectuelle qui peut être ruinée sur un jet de dé ou une carte qui se refuse à monter sur le dessus de la pioche. Ou qui peut s'avérer payante. Dans un cas, on nous impose l'humilité, dans l'autre l'orgueil est permis. On a le sentiment d'avoir réussi à contrôler l'incontrôlable...

De même qu'un jeu purement intellectuel/physique est sans intérêt, car le résultat est déterminé d'avance, de même un jeu entièrement fondé sur le hasard. Faire le plus haut jet de dé ne nécessite aucun talent particulier, il n'y a pas là de véritable confrontation, juste une attente de jugement arbitraire (Smashing Pumpkins / Disarm). Il va y avoir jeu quand ce jet de dé arbitraire va devoir etre utilisé intelligemment, va devoir être dompté.

Le jeu comme tentative de l'homme de prendre son destin en main. Et au fond, pourquoi est ce que ce ne serait pas le jeu qui aurait fait sortir l'homme de l'état animal, plutôt que la technique, ou l'art, ou que sais je ? Est ce que le jeu (attention pas le pari, ni la domination sur l'adversaire) ne serait pas l'accomplissement ultime d'une civilisation ?

C'est dingue toutes les justifications que je peut chercher à mon amour du jeu et toutes les preuves de ma présence au sommet de la civilisation !

"C'est la gigue de Bic et Bac
Bac et Bic
c'est logbique
la petite gigue du flashbic
tralalalala

Dans la plaine du grand bourdon
le flasbic nous dansons
Dans la graine plaine d'Arcadia
Venez avec moi !

Nous sommes deux pangolins
qui se carapatent (crapahutent ?)
Nous sommes deux gros malins
donnons nous la main !
(...)

Tourneboule tourneboule la gigue de la vie !
(...)

Sans nous faire trop de mouron
le flashbic nous dansons
dans la grande gigue d'Arcadia
Entrez avec moi !"




lundi, avril 12, 2004

(The Doors / The End)

Je n'aime pas les Doors. Je n'y peux rien, j'y suis hermétique. Ou presque. Allez savoir pourquoi, dans mon rejet quasi total de ce groupe et de son icône idôlatrée, il y a deux trois choses qui m'obligent à les placer dans mon panthéon. C'est vexant quand même.

D'abord il y a ce titre, magistral, The End. Avec ses défauts dûs à l'époque. Mais surtout avec son effet indéniable sur les neurones. Et son "message". Je deteste parler de message dans les oeuvres artistiques. Chercher le message d'une oeuvre, essayer de la comprendre, c'est s'interdire de la vivre, et donc de la com-prendre, de la prendre avec soi, en soi, de s'en nourrir. Une des nombreuses raisons qui me font rejeter en bloc les études de lettres telles qu'elles sont menées dans le secondaire et le tertiaire, et qui me fait également rejeter la très grande majorité de la production de "l'art contemporain". Je deteste, donc, chercher et parler des messages d'une oeuvre. Mais il est indéniable que sur The End, les Doors ont su allier forme et fond afin de remplir un objectif, et que ce but est atteint.

A côté de The End il y également quelques titres qui valent le coût, ne soyons pas obtus. Je pense notamment à Riders on the storm (à ne pas confondre avec Stormrider... ;) ). Mais je ne comprendrai jamais comment Light my fire a pu devenir un titre mythique. Ce qui me pousse à garder un brin de considération pour Jim et ses amis, ça reste bêtement Philip José Farmer. Non, il ne fait pas partie des Doors. J'ignore même s'il a jamais écouté un seul de leur titre.

PJF est (était ? j'ignore s'il est encore de ce monde) un écrivain américain. Vous ne trouverez pas trace de lui dans la grande littérature, il est surtout resté dans quelques mémoires pour avoir écrit La saga de hommes-dieux, un cycle de mélange SF/Fantasy, aux temps héroïques de ce type de littérature. (Eels / Novocain for the soul) Lecture sympathique mais sans plus, dont on peut se passer. Mais la correspondance entre l'univers de Philip José Farmer et celui dans lequel les Doors évoluaient est saisissante. La musique des Doors étant une des nombreuses "portes" devant mener aux mondes des Hommes-Dieux. Tiens d'ailleurs, pour ceux que PJF intéresse, c'est à partir de ses livres qu'a été écrit le JdR Thoan, anciennement diffusé en France par Descartes mais qui ne doit plus être édité.

Enfin, rien à voir ou presque, mais Les Noces Pourpres de G. Martin est enfin sorti en poche, ce qui va me permettre de poursuivre Le Trône de Fer / A Game of Throne (A LIRE pour les amateurs du genre) dont il s'agit du huitième tome. Quitte à passer à la librairie, n'hésitez pas à perdre du temps sur La nuit de l'oracle de Paul Auster. Comme quoi on peut être américain et faire des choses bien... (Godspeed you ! Black Emperor / Aucune idée du titre... And the Dark Winds blows...)



samedi, avril 10, 2004

(Clapton-Sting / it's probably me)

Nuit des Ténèbres
Nuit de nos révoltes
Nuit de nos plus profondes colères
Nuit de nos doutes
Nuit de nos souffrances et de nos peines
Nuit de nos conflits
Nuit de nos solitudes
Nuit de nos séparations, nuit de nos divorces
Nuit de la barbarie et du terrorisme
Nuit de l'enfance meurtrie et maltraitée
Nuit de nos dépendances et de la dépression

(silence)

Nuit de la Foi...



lundi, avril 05, 2004

BON !

Cette fois c'est sûr, cet ordinateur me hait. Je le disais déjà dans le post d'avant, celui que vous ne pouvez pas lire, car l'ordi a buggé. Et je le disais car déjà, l'ordinateur venait de bugger deux fois déjà au milieu d'une longue diatribe. Et puis d'ailleurs, vous en connaissez des courtes, vous, des diatribes ? bon.

On ne pourra pas me reprocher de faire montre de mauvaise volonté, pour s'y reprendre à 4 fois sur ce fucking post. Heureusement que demain je me tire sur un autre poste. Surtout que par deux fois, l'inspiration m'était revenue, l'inspiration sans doute fournie par le retour de la Nuit, celle dont j'ai déjà parlé en la regrettant, en regrettant son absence. Mais l'été revient, et avec lui, la Nuit.

Alors pour cette troisième reprise consécutive, désolé mais non, je ne laisserai pas l'inspiration me reprendre, j'ai trop mal au dos, je dois encore passer le balai, la serpillière, l'éponge et le savon, pas forcément dans cet ordre. On verra plus tard si j'ai le courage de reparler de Gracian, de Bilal, de Tim Burton, de Jack Nicholson et des autres.

Sur ce, j'allais poster une citation extraite d'une oeuvre vachement profonde et illustrant parfaitement ma situation, mais le temps de taper le reste, ça m'est sorti de l'esprit, alors débrouillez vous pour me faire des propositions appropriées à ce sujet.




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